Truffes au chocolat Mathez

On dira ce qu’on veut, même si quelque fois j’exagère (comme le pensait le camarade Eluard en son temps), mais parfois il y a comme des vérités qui s’imposent. Je veux dire : bien plus encore que l’importance de la mayonnaise dans la gastronomie. Et là, au détour de votre écran aux pixels sages, je m’en vais vous confier une édifiante découverte. Les truffes Mathez que voilà sont tout bonnement les meilleures truffes au chocolat que j’ai pu savourer jusqu’à aujourd’hui. Ce qui fait tout de même 37 années d’expérimentation dans le genre dans le domaine du sucré praliné. Une finesse ultime qui rime fort bien avec sublime. D’ailleurs, si l’envie vous prend de les tester vous aussi, je pense qu’on peut facilement tomber d’accord pour dire qu’elles ont vraiment de sérieux arguments #miam ! Prenant les devants, je préfère vous l’écrire.

L’emballement commence tôt, dès les yeux posés sur les packagings scintillants de ces dignes confiseries. Il y a déjà là comme des prémices de bonheur à venir. Un brin joueur, je me suis décidé à faire une superbe dégustation marathon, sur plusieurs jours, de toutes sortes de délices signés Mathez ! Ce test gourmand va donc se dérouler en plusieurs étapes, commencé hier au zénith astral avec l’estimation délicate de la première bouchée : la truffe nature. Quatre truffes par petite musette, c’est l’idéal car nous sommes quatre fiers gourmands dans ma belle tribu.

Avertissement : c’est un peu le clou du spectacle après le dessert. Ne laissez pas gâcher votre moment subtil avec ces truffes en vous servant ensuite une part de n’importe quoi, même avec beaucoup de crème anglaise. A la limite, un petit café, mais c’est presque encore trop barbare.

On commence donc notre voyage par la truffe nature, une étonnante recette toute en finesse. On a bien le bon poudré du cacao comme on en rêve, une fine couche croquante, une autre plus dense et moelleuse fort chocolatée, et puis comme un petit quelque chose de praliné pour finir. La sensation est assez déconcertante, on a l’impression de manger un bijou de sucre. Une bouchée seulement suffit à engloutir ce délice, aussi faut il la jouer piano pour se laisser embarquer par toutes ses saveurs. Et les textures, qui ont aussi fière allure ! Bon, je ne suis pas véritablement un fin gourmet ou le chef étoilé qui saura s’exprimer mieux que moi sur le sujet, mais l’idée est là : c’est super délicieux !

A partir de là, toutes les autres déclinaisons de truffes ont ces mêmes caractéristiques : un croquant sophistiqué et un fondant maitrisé. Fermer les yeux, c’est encore meilleur. Voici donc mes autres commentaires à propos de mes variantes préférées :

• rhum : exaltant et épatant, léger et juste ce qu’il faut d’enivrant.

A découvrir pour édifier vos convives et enchanter vos salives, c’est par là qu’il faut cliquer pour se délecter : Mathez.fr !